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Essaouira, pour quelques pierres de plus
par J-L.
Bitton |
Le
22 juin 2000
- Regardé les véliplanchistes sur la longue plage d’Essaouira,
impossible de s’allonger à cause du vent qui soulève des tourbillons
de sable. La ville est belle : murs blancs, volets bleus,
venelles aux murs ocres qui semblent se perdre dans je ne
sais quelle mille et une nuits. Les rues d’Essaouira sont
remplies d’hommes, ce qui au premier contact créé une ambiance
un peu étrange, une sorte d’univers dont la femme serait exclue.
Un paradis pour gay, un cauchemar pour moi. Acheté livres
sur les musiciens gnaoua. Il y aurait un quartier où se trouvent
des voyantes. Admiré les tableaux des peintres d’Essaouira
à la galerie Frédéric Damgaard. Ces fameux peintres dont l’humilité
m’avait frappé lors d’une émission d’Arte qui leur était consacrée.
Couleurs éclatantes, pointillisme persistant, proche des peintures
rupestres.
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