L’Agly,comme
la Tet, l’une aupres du Barcarés, l’autre à Sainte Marie,achevent
icileur destinée de fleuves côtiers en des embouchures imprécises
de sable et de roseaux sans cesse déplacées au gré des crues
subites.
Paysage mélancolique d’herbes,de joncs et d’eaux endormies
où seuls, à certains jours propices,pêcheurs et chasseurs
de gibiers d’eau,troublent le silence parfumé du sel de la
mer.
[Yves
Hoffmann (Roussillon, Catalogne française - 1964)]
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